Pourquoi Collectivité nationale ?
Nos propositions préconisent une meilleure prise en compte de l’intérêt public dans les politiques menées par nos gouvernements. Elles ont le plus souvent bénéficié d'un accueil bienveillant et semblent conformes à l’attente d’un grand nombre de nos concitoyens. Les fils conducteurs de notre action, bien que nous devions parfois mener combat sur des terrains apparaissant plus périphériques, demeurent la réindustrialisation et l’emploi. Le chômage, dont le coût financier impacte lourdement la collectivité nationale, menace notre modèle social. Qu’il nous touche directement ou qu’il réduise des proches à la pauvreté et à l’exclusion, ce fléau constitue notre plus grand sujet d’inquiétude.
Par ailleurs, l'un de nos objectifs consiste à conférer à la collectivité nationale un statut inscrit dans la constitution et ainsi, une personnalité morale dotée de pouvoir, afin de lutter contre les dérives économiques (paragraphe La collectivité faite personne morale).
Les programmes des candidats aux primaires pour l’élection présidentielle occultent le risque pourtant omniprésent, d’une faillite de l’euro et d’un éclatement de l’UE. Aussi nous avons la conviction, que le moment venu, notre travail de réflexion et le modèle économique proposé dans le texte Après l’euro et l’UE, la réindustrialisation et la fin au chômage de masse, pourraient s’avérer utiles à la reconstruction de notre pays. Le projet pourrait, au cours des mois à venir, s’enrichir de plusieurs centaines voire plusieurs milliers de pages de contributions émanant notamment d’écoles d’ingénieurs.
Francis Journot est l’initiateur du projet Collectivité Nationale. Il exerce, depuis le début de sa vie professionnelle en France et à l’étranger, en tant qu’entrepreneur et au sein d’entreprises notamment dans les domaines de l’informatique et du management dans le commerce, l’industrie, la finance, la presse et les services.